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un monde d'oiseaux voyageurs
Oiseau, Oh Oiseau,
Oh Oiseau du sommet du monde,
Peux tu dire à mon bien-aimé ce qui me tient en souci?
Oh Oiseau
Va demander à celui dont le compagnon n’est pas avec lui,
Est-il effrayé des blessures de l’amour?
il est là,
Quelles douleurs le percent tandis que les pensées d’enfants se rappellent à son esprit,
Oh Oiseau qui se revêt des couleurs de l’arbre,
il n’y a plus rien qu’ abandon et ennui,
J’attendrai dans les yeux du soleil,
dans la froideur de la pierre,
que la main de séparation me guide
J’implore que le nombre de vos plumes égale le nombre de mes jours,
La rose capiteuse et les grains d’air si vous allez vers eux,
et que le paradis de l’amour me prenne juste pour une minute puis me ramène...
et des oiseaux sans nombre parurent à chaque souffle...
celui qui sait de qui il est l'ombre portée se trouve libéré...
qu'il vive ou bien qu'il meure...
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